jueves, 27 de octubre de 2011

La grêve de l'éducation nationale en Espagne

Les suppressions de postes représentent le licenciement des professeurs (2500-3000), malgré le nombre croissant d’étudiants. Le manque de personnel nécessaire peut être traduit par l`augmentation du chômage (2500 professeurs) et l`appauvrissement de l`attention que les étudiants reçoivent.

-         Perte du soutien scolaire de renforcement pour les élèves en difficultés.
-         La perte des heures de laboratoire ou de conversation en langue étrangère.
-         Augmentation du nombre d`élèves par classe ( 25 á 30 ).
-         Moins d’options.
-         Diminution des activités extrascolaires.
-         Diminution des heures de bibliothèque.
-         Perte de la possibilité d’aller en salle d’informatique.
-         Moins d`enseignants en poste (y compris les loisirs).
-         Les professeurs enseigneront des matières qui ne sont pas de leur spécialité.
-       La suppression du tutorat pour les étudiants.

La manifestation contre les suppressions de postes de l’éducation à Madrid a commencé devant le ministère et a fini à Sol. Le slogan de la manifestation était: “Pas de suppression de postes”. Beaucoup de tee-shirt ont été faits; le message des tee-shirts était: “école publique de tous et pour tous”. Beaucoup de pancartes aussi ont été faites pour défendre l’enseignement public.
Le 4 Octobre 2011 le suivi de la grève a été de 61,5% à Madrid capitale, de 70,4% dans le sud et de 75,8% dans l’est.
Seulement entre Madrid, la Catalogne, Castille-la Manche et la Navarre on a supprimé plus de 2 millions d’euros. À Madrid l’emploi s’est réduit à 8000 intérimaires.
Selon José Juan Dominguez les suppressions dans l’éducation ont un prix à long terme qui n’est pas récupérable.
L’éducation publique ne peut pas être laisée à cause de mauvaises conditions économiques qui ne viennent pas d’Europe.

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